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10 septembre 2010 5 10 /09 /septembre /2010 04:07

 

   La Loi  et la Grâce  

 

  Aujourd'hui, beaucoup de chrétiens, n'ont pas compris la signification du salut par grâce et ont accepté, ce que l'on pourrait appeler, « la grâce à bon marché ».

 

Parce que Christ a tout accompli, certains croient qu’un chrétien est dispensé d’observer la Loi divine et peut vivre selon les désirs de sa nature pécheresse.

  Rien ne peut être plus éloigné de la vérité, car la Bible n'enseigne pas une telle chose !

 

Comment alors comprendre cette merveilleuse affirmation qui dit que « c'est par grâce que nous sommes sauvés » ?

 

Christ, en nous sauvant par grâce, a-t-Il aboli la Loi comme plusieurs l'enseignent aujourd'hui ?

 

En raison d'une apparente tension entre la loi et la grâce, beaucoup de chrétiens trouvent difficile de concilier les deux. Elles semblent effectivement opposées l'une et l'autre.

 

La loi exige l'obéissance pour le salut (Romains 10.5) tandis que la grâce offre le salut comme un don gratuit, sans les oeuvres (Éphésiens 2.8-9).

 

La loi condamne le pêcheur (Galates 3.10) alors que la grâce justifie l'impie (Romains 4.5).

 

En conséquence, beaucoup de ceux qui acceptent la grâce comme gratuite rejettent la loi.

 

L'Ancien et le Nouveau Testaments cependant, ne présentent pas la grâce comme opposée à la loi. Toutes deux ont leur source en Dieu et Dieu ne se contredit jamais.

 

En essayant de résoudre la tension qui existe entre la loi et la grâce, un grand nombre de chrétiens croient et enseignent aujourd'hui la doctrine du dispensationalisme, affirmant que le salut, de Moïse à Christ, était basé sur l'obéissance de l'homme à la loi, désignée communément comme étant l'ancienne alliance. Mais depuis que Christ est venu et a obtenu une rédemption éternelle pour les pécheurs, le genre humain est maintenant sauvé par la grâce, la nouvelle alliance, et la loi a été abolie.

 

L'Écriture ne soutient nulle part ce point de vue.

 

Depuis la chute de l'homme, Dieu n'a eu qu'une seule façon de sauver la race humaine pécheresse et c'est par la grâce. L’apôtre Paul le montre clairement.

 

« Car que dit l’Écriture? Abraham crut à Dieu, et cela lui fut imputé à justice. Or, à celui qui fait une oeuvre, le salaire est imputé, non comme une grâce, mais comme une chose due; et à celui qui ne fait point d’oeuvre, mais qui croit en celui qui justifie l’impie, sa foi lui est imputée à justice. » Romains 4 : 3 - 5

 

Abraham, le père des Juifs, ne fut pas sauvé par les oeuvres ou par la circoncision, ni par l'observation de la loi, mais par la foi en la promesse divine de salut en Christ.

 

Jamais, Dieu n'a donné la loi comme moyen de salut ; cette idée est une perversion des Juifs.

 

« Que dirons-nous donc? Les païens, qui ne cherchaient pas la justice, ont obtenu la justice, la justice qui vient de la foi,  tandis qu’Israël, qui cherchait une loi de justice, n’est pas parvenu à cette loi. Pourquoi? Parce qu’Israël l’a cherchée, non par la foi, mais comme provenant des oeuvres. Ils se sont heurtés contre la pierre d’achoppement, selon qu’il est écrit: Voici, je mets en Sion une pierre d’achoppement Et un rocher de scandale, Et celui qui croit en lui ne sera point confus    (Romains 9.30-33).

 

Dans son Épître aux Galates, Paul fait de grands efforts pour corriger cette erreur :

 

«  Néanmoins, sachant que ce n’est pas par les oeuvres de la loi que l’homme est justifié, mais par la foi en Jésus-Christ, nous aussi nous avons cru en Jésus-Christ, afin d’être justifiés par la foi en Christ et non par les oeuvres de la loi, parce que nulle chair ne sera justifiée par les oeuvres de la loi. »  Galates 2 :l6

 

Le plan de Dieu en donnant la loi à l'homme était d'abord de le convaincre de péché afin que le don de Son salut puisse avoir du sens.

 

«  Car nul ne sera justifié devant lui par les oeuvres de la loi, puisque c’est par la loi que vient la connaissance du péché. » (Romains 3.20)

 

« Ainsi, la loi a été comme un pédagogue pour nous conduire à Christ, afin que nous fussions justifiés par la foi » (Galates 3.24).

 

On trouve au coeur de chaque religion païenne la croyance que l'homme doit se sauver lui-même par ses propres bonnes oeuvres.

 

La Bible enseigne que c'est impossible et que le seul espoir de l'homme réside dans le salut par la foi dans la grâce rédemptrice de Dieu.

 

« Nous concluons donc que l'homme est justifié par la foi, sans les oeuvres de la loi. » (Romains 3.28).

 

  NON SOUS LA LOI, MAIS SOUS LA GRÂCE

 

Chaque chrétien né de nouveau doit réaliser qu'il n'est plus sous la loi, mais sous la grâce. C'est là le grand privilège de tous ceux qui ont accepté Christ comme leur Sauveur.

 

Mais que signifie « être sous la grâce » et comment cela affecte-t-il notre vie en tant que chré­tiens ?

 

Nous devons tout d'abord être au clair sur les termes bibliques « sous la loi » et « sous la grâce ».

 

Sous la loi :

Le mot « sous » signifie « être gouverné ou dominé par ». Être sous la loi signifie par conséquent être gouverné par la loi, ce qui veut dire que notre position devant Dieu est fonction de notre performance en termes d'observation de la loi.

 

 La loi s'approche toujours d'une personne en lui disant : « Faites ces choses et vous vivrez ».

 

L'incapacité de se conformer à la loi produit la malédiction : « Maudit est quiconque n'observe pas tout ce qui est écrit dans le livre de la loi, et ne le met pas en pratique » (Galates 3.10).

 

C'était la position d'Adam et Ève dans le jardin d'Éden. Ayant créé nos premiers parents avec une nature parfaite non pécheresse, Dieu les plaça sous la loi : « L'Éternel Dieu donna cet ordre à l'homme : Tu peux manger de tous les arbres du jardin ; mais tu ne mangeras pas de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, certainement tu mourras » (Genèse 2.16-17).

 

Quand Adam et Ève désobéirent à ce commandement, ils tombèrent sous le coup d'une condamnation à mort ; c'est-à-dire qu'ils perdirent la vie. Comme la vie de la race humaine est la multiplication de celle d'Adam (Actes 17.26), et que tout le genre humain était en Adam quand il pécha, cette sentence de mort toucha toute l'humanité (Romains 5.12 ; 1 Corinthiens 15.22; )

 

À cause de la chute, « être sous la loi » signifie aussi « être sous la malédiction ou la condamnation de la loi » ; c'est là le sort de l'homme. Peu importe la bonne opinion que nous pouvons avoir de nous-mêmes, le fait est que nous sommes issus d'une race perdue.

 

Non seulement le genre humain se trouve condamné sous la loi, mais que ses exigences dépassent nos possibilités.

 

Ce fut pour sauver l'homme déchu de cette terrible situation que « Dieu envoya Son Fils, né d'une femme, né sous la loi, afin qu'il rachetât ceux qui étaient sous la loi, afin que nous reçussions l'adoption comme fils » (Galates 4:4-5)

 

En nous rachetant de notre position sous la loi, Christ nous a mis sous la grâce et c'est la position de tous ceux qui L'ont reçu par la foi (Romains 6.14).

 

Sous la grâce :

C'est le caractère d'amour de Dieu envers les pécheurs qui L'a conduit à donner « Son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse point mais qu'il ait la vie éternelle » (Jean 3.16).

 

Voici comment l'apôtre Paul décrit la grâce : « C'est en Lui que nous avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés, selon la richesse de sa grâce » (Éphésiens 1.7).

 

Le mot « grâce » signifie une faveur consentie à ceux qui ne le méritent pas.

 

Comme l'homme déchu est par sa nature et son comportement ennemi de Dieu, ce que Dieu a fait en sauvant l'humanité en Son Fils devient plus qu'un don gratuit ;

 

« Car c’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. » (Éphésiens 2.8-9)

 

Voilà pourquoi l'évangile est une bonne nouvelle inconditionnelle.

 

Parce tous les hommes ont été créés en Adam, tous les hommes sont nés sous la loi, et « la loi exerce son pouvoir sur l'homme aussi longtemps qu'il vit » (Romains 7.1).

 

Mais S'étant uni à nous dans l'incarnation et nous ayant portés sur Sa croix, nous sommes morts à la loi « par le corps de Christ » (Romains 7.4).

 

Ensuite, dans la résurrection, Christ nous a fait renaître à Sa vie éternelle avec Lui, nés de nouveau à « une espérance vivante » (l Pierre 1.3), mariés à Christ, le second époux, et nous sommes par conséquent sous Son autorité. C'est ce que signifie être sous la grâce.

 

Ainsi, le chrétien, n’est plus sous la loi, dans le sens que sa justification ou son salut ne dépendent pas de ses tentatives personnelles et égoïstes d'obéir à la loi.

 

Ceci, bien sûr, est la position de tous ceux qui n'ont pas reçu Christ comme leur Sauveur personnel.

 

Mais pour les croyants, qui sont devenus par la foi un en Christ, nous ne sommes plus sous la loi, mais sous la grâce et Christ est devenu la fin (l'accomplissement) de la loi pour notre justice

 

«   Car Christ est la fin de la loi, pour la justification de tous ceux qui croient. » (Romains 10.4).

 

La loi morale nous fait prendre conscience de nos péchés, de nos fautes, de nos défaillances et ainsi nous révèle notre besoin d'un Sauveur, de pardon, de justice. Toutes ces choses ne se trouvent qu'en Jésus.

 

C'est en ce sens que le Christ est la " fin " de la loi, car celle-ci conduit à Lui et à Sa Justice.

 

Le terme grec traduit par " fin ", peut également être rendu par " but " ou " dessein ". Le Christ est le dessein final de la loi, en ce sens que celle-ci mène à lui.

 

Croire que ce texte enseigne que les dix commandements et notamment le quatrième commandement sont obsolètes va à l'encontre de l'enseignement de Paul et du Nouveau Testament.

  

L’état « sous la grâce » est l'opposé de l'état « sous la loi » ; nous ne sommes plus justifiés devant Dieu sur la base de nos propres actions ou oeuvres de la loi ; mais nous sommes entièrement justifiés sur la base de ce que Christ a déjà fait dans Sa vie, Sa mort et Sa résurrection.

 

 « Être sous la grâce » signifie aussi que nous sommes morts à une vie de péché et que notre vie est maintenant cachée en Christ.

 

Vivre sous la grâce

 

  Délivrés de notre position sous la loi, cela ne signifie pas que la loi soit abolie. Quiconque arrive à cette conclusion et l'enseigne pervertit l'évangile. La justification par la foi n'abolit pas la loi mais l'établit :

 

« Anéantissons-nous donc la loi par la foi? Loin de là! Au contraire, nous confirmons la loi.  »  (Romains 3.31).

 

La loi de Dieu est aussi éternelle que Dieu Lui-même, car elle est l'expression écrite de l'amour, et Dieu est amour.

 

Christ Lui-même enseigna dans le sermon sur la montagne qu'Il n'était pas venu pour abolir la loi. « Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à ce que tout soit accompli. Celui donc qui brisera l'un de ces plus petits commandements et qui enseignera aux hommes à faire de même, sera appelé le plus petit dans le royaume des cieux ; mais celui qui les observera, et qui enseignera à les observer, celui-là sera appelé grand dans le royaume des cieux. » (Matthieu 5.18-19).

 

« La loi donc est sainte, et le commandement est saint, juste et bon. » (Romains 7.12),

 

En nous délivrant de notre position « sous la loi », Christ n'a pas aboli la loi par Sa mort sur la croix, mais Il a mis fin à nos vies pécheresses qui se trouvaient sous la condamnation de la loi.

 

Par Sa résurrection, Il nous a sauvés de la mort et nous a donné une vie nouvelle, la vie de l'Esprit qui est en parfaite harmonie avec la loi. Il l'a prouvé dans Sa propre humanité, en obéissant parfaitement à la sainte loi de Dieu par la puissance de l'Esprit.

 

  Être sous la grâce ne veut pas dire que nous sommes libres de vivre comme il nous plaît.

 

Cela signifie que c'est avec Christ que s'est établie notre relation ; Il est la source de la grâce et nous devons vivre sous Sa domination et Son autorité.

 

« Quoi donc ! Pécherions-nous, parce que nous sommes, non sous la loi, mais sous la grâce ? Loin de là ! Ne savez-vous pas qu'en vous livrant à quelqu'un comme esclaves pour lui obéir, vous êtes esclaves de celui à qui vous obéissez, soit du péché qui conduit à la mort, soit de l'obéissance qui conduit à la justice ? Mais grâces soient rendues à Dieu de ce que, après avoir été esclaves du péché, vous avez obéi de coeur à la règle de doctrine qui vous a été donnée ! Étant donc affranchis du pêché, vous êtes devenus esclaves de la justice. » (Romains 6.15-18).

 

Il est clair donc que vivre sous la grâce signifie permettre à Christ de vivre en nous par la foi. C'est ce que Christ voulait dire par ces paroles : « Demeurez en moi, et je demeurerai en vous. Comme le sarment ne peut de lui-même porter du fruit s'il ne demeure attaché au cep, ainsi vous ne le pouvez non plus si vous ne demeurez en moi. Je suis le cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit ; car sans moi, vous ne pouvez rien faire. » (Jean 15.4-5).

   

La loi peut seulement exiger l'obéissance et nous condamner chaque fois que nous échouons.

 

Combien différente est notre situation sous la grâce !

 

Contrairement à la loi, Christ comprend notre faiblesse et notre incapacité d'être réellement bon ; Il est aussi capable de sympathiser avec nous dans nos luttes contre la tentation.

 

" Il a été rendu semblable à nous en toutes choses et a été tenté en tous points comme nous le sommes, de sorte qu'Il nous comprend, compatit avec nous et est capable de nous aider "  (Hébreux 2.17-18 ; 4.15).

 

En d'autres termes, notre relation avec Dieu sous la grâce est une relation d'amour et d'appréciation. Elle est opposée à notre situation sous la loi.

 

Ce n'est plus la peur du châtiment qui motive nos actions, mais l'amour de Dieu qui nous contraint et nous pousse à faire le bien et à vivre pour Lui (2 Corinthiens 5.14-15).

 

Jésus a dit : « Si vous m'aimez, gardez mes commandements » (Jean 14.15 ; 1 Jean 5.3).

 

UN MAUVAIS USAGE DE LA GRÂCE

 

La raison pour laquelle nous chrétiens apprenons à haïr le péché n'est pas que nous craignons qu'il nous prive du ciel, mais parce que nos péchés ont crucifié Christ (Galates 3.13). Quand nous réaliserons le prix qu'il en a coûté à Dieu pour nous sauver en Christ, nous haïrons le péché.

 

Un légaliste ne hait pas le péché ; ce qu'il hait, c'est la punition du péché. Une telle religion n'est pas différente du paganisme.

 

  Considérant ces choses, comment un chrétien devrait-il voir la loi ?

 

Est-elle encore obligatoire pour les croyants ?

 

En tant que moyen de salut, nous répondrons énergiquement « non » ! Mais en tant que norme de vie chrétienne, nous répondrons par un « oui » décidé.

 

Pour mieux le comprendre, nous devrions nous rappeler la distinction entre l'ancienne alliance et la nouvelle alliance.

 

La mesure de justice dans les deux alliances est la loi.

 

Dans l'ancienne alliance, l'homme pense que ce sont ses promesses qui sont capables de le qualifier pour le ciel.

 

" Le peuple tout entier répondit: Nous ferons tout ce que l’Eternel a dit. "    Exode 19:8

 

Tandis que dans la nouvelle alliance, ce sont les promesses de Dieu et Sa justice réalisées dans la sainte histoire de Christ qui nous sauvent, et la part de l'homme est de croire, d'exercer la foi, comme le fit Abraham.

 

La raison pour laquelle l'ancienne alliance fut imparfaite ne dépendait pas de la loi, mais du peuple (Hébreux 8.7-9). Pour cette raison, l'espérance de salut de l'homme est dans la promesse divine de la grâce, offerte en Christ à travers la nouvelle alliance.

 

Mais la nouvelle alliance n'a pas aboli la loi, comme certains le croient et l'enseignent. Cherchez tant que vous le voudrez, vous ne trouverez pas un seul texte de l'Écriture soutenant cette idée.

 

Ce que Dieu fait dans la nouvelle alliance, c'est d'écrire la même loi dans le coeur des croyants, de sorte qu'elle devient partie intégrante de notre nouvelle nature et non plus simplement un ensemble de règles comme sous l'ancienne alliance.

 

         Voici comment le présente l'auteur des Hébreux :

 

« Voici l'alliance que je traiterai avec la maison d'Israël en ces jours-là, dit le Seigneur. Je mettrai mes lois dans leur esprit, et je les écrirai dans leur coeur. Je serai leur Dieu et ils seront mon peuple. » (Hébreux 8.10).

 

 

 

                                                         Christ revient Bientôt !!!

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